1970/1972 : Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr à Coëtquidan (56) avec un séjour d'un mois au 53ème RCT de Fribourg (RFA)
1972/1973 : Ecole d'Application de l'Arme Blindée Cavalerie à Saumur (49)
1973/1975 : 8ème Régiment de Dragons à Morhange (54)
1975/1979 : Adjoint technique à la 414ème Compagnie Légère de Réparation du Matériel à Laon-Couvron (02)
1979/1982 : Adjoint au chef des Services Techniques et Chef du Détachement de Soutien de l'EAABC de Saumur (49)
1982/1986 : Rédacteur au Commandement des Ecoles de l'Armée de Terre à Paris (75)
1986/1988 : Au titre de l'EMSST, Diplôme d'Ingénieur Système Informatique à l'Ecole Supérieure de l'Electronique de l'Armée de Terre à Cesson-Sévigné (35) et Diplôme d'Etat-Major à Compiègne (60)
1988/1998 : Etant affecté au CEDIMAT, Rédacteur à la Sous Direction Informatique de la Direction Centrale du Matériel de l'Armée de Terre à Malakoff (92) responsable de la maintenance et de l'évolution des applications informatiques du Matériel.
1998/2004 : Commandant de la Division Formation Générale et Multimédia puis Contrôleur de gestion à l'Ecole Supérieure et d'Application des Transmissions à Cesson-Sévigné (35)

Retraité en décembre 2004 après 13 ans de Lieutenant-colonel et … 45 ans d'uniforme

Voilà comment une simple montre a pu totalement déterminer mon cursus professionnel, sans qu'à aucun moment je ne me sois posé de question sur mon avenir. Je n'ai pas trop mal réussi. Merci Papa.

Ma période en kaki a duré 34 ans
Mon père était Saint-cyrien de la "Plus Grande France" (1938-39)

 

 

 

 




Voilà quelques détails complémentaires sur ma carrière d'officier.

Si vous avez la patience, voir le Support n°5 avec la vision de ce que j'ai aimé et aussi de ce que je n'ai pas aimé.

Cliquez sur les insignes de mes affectations pour ouvrir les pages correspondantes

Bilan Professionnel et Personnel

Stage ARCO - Avril 2004
complété en 2022

Saint-Éloi 1997 : Remise de l'ONM (Vidéo 6')

2003 : remise de la LH

J'ai écrit ce courriel le 1er février 2023 en réponse au sondage adressé par le général Dominique LEUFEUVRE pour la mise à jour de l'annuaire des Saint-Cyriens de l’Ille-et-Vilaine. Un des intérêts du message réside dans le fait que le Général LEUFEUVRE a commandé l'ESAT devenue EATrs 2 ou 3 années après mon départ.
Il me semble que ces mots réalisent un beau chapeau à ma carrière après maintenant 18 ans de retraite.

"Mon général et ancien DGF de l'ESAT
Je confirme mes informations personnelles qui apparaissent ci-dessous.

Voici quelques mots sur mon rapport avec mon passé professionnel.

1) En quittant l'ESAT en fin 2004, j'ai dû franchir l'étape difficile de la fin mon parcours de contrôleur de gestion qui s'est avérée être un véritable schisme. Sans le faire apparaître vraiment, j'ai appliqué pendant 3 ans des règles de contrôle de gestion dont je contestais le fond et dont le but était principalement de décompter finement les 5% de l'activité hors mission. Sans m'étendre, je n'ai jamais réussi à faire comprendre que la fiche interne d'activité du CoFAT, dont j'ai totalement numérisé le fonctionnement, devait être à destination fonctionnelle des Services administratifs de l'École et non sous cette forme au Contrôle de gestion. À l'été 2004, l'EMAT a remis de l'ordre là-dedans, mais, j'avais perdu ma superbe ...

2) Je ne suis plus jamais retourné à l'ESAT depuis mon départ et ne n'ai plus participé à des festivités militaires ou proches par la suite, hors des choix en 3), globalement parce que je ne me suis jamais senti à l'aise dans ces circonstances.

3) En dehors de l'association ECTI dans laquelle j'ai eu une grosse activité pendant 15 ans, j 'ai fait le choix de n'appartenir qu'à 2 associations d'anciens : les AET dont je suis récemment devenu trésorier pour l'Ille-et-Vilaine et les "Amis de la Promotion du Général de Gaulle", ma promotion de Saint-Cyr (1970-72) dont je suis devenu récemment le webmestre. Je prévois de continuer le plus longtemps possible dans ce cadre financier réduit qui m'assure une petite vie sociale du souvenir.

4) J'avais eu des velléités de participer à la vie publique locale, mais j'ai vite abandonné, en gardant toutefois un lien avec les questions d'accessibilité des lieux, sachant que la municipalité n'était pas du tout de mon bord.

Voilà, mon général, avec tous mes respects."


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